Dans son seul en scène, Bernard Bitan « nous emporte dans un tourbillon d'émotions et de rires ». De Victor Hugo à Herbert Pagani, des haring de Scheveningen à la cornemuse écossaise, de la mémoire de la Shoa à « Qui veut gagner des millions », la critique salue la « Virtuosité du texte » et « Une performance bluffante ».
Dans « Je n'ai pas dit mes (nos) derniers maux », Bernard Bitan porte surtout haut et fort la voix de tout un peuple en dressant un plaidoyer vibrant, très personnel et sans concessions pour le peuple juif et Israël.
« Un spectacle à voir et à revoir » « IMMANQUABLE ».